Cinq poètes de Coimbra assume la contingence historique û le hasard, en somme û comme un prétexte susceptible dÆunir des voix poétiques profondément distinctes, issues de différents siècles. Aux noms de Dom Dinis et Sá de Miranda sÆajoutent ceux qui, au XIXe siècle en particulier, ont davantage marqué la mémoire que la ville conserve de la littérature et que la littérature conserve de la ville. À ce titre, des poètes comme Antero de Quental et Camilo Pessanha sÆimposent. Mais aussi des poètes comme Fernando Assis Pacheco pour dire toute la charge lyrique du paysage urbain: il a sans doute écrit les vers les plus poignants sur Coimbra et ses diverses couleurs qui, pour lui, étaient le reflet de son enfance et de sa jeunesse.
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